Demi-journée d’échanges et de réflexions sur l’usage du cannabis
Votre organisme travaille auprès des jeunes (12-25 ans) et leur famille ?
Vous êtes préoccupés par l’enjeu de la consommation du cannabis chez les jeunes?
Votre organisation a développé une expertise dans l’accompagnement de cette clientèle ?
Nous souhaitons, par la présente, vous convier à une demi-journée d’échanges et de réflexions sur l’usage du cannabis chez les jeunes âgés de 12 à 25 ans, qui aura lieu le 11 juin de 9h à 12h dans les bureaux de l’ALPABEM.
Dans le cadre du PAID nous souhaitons réfléchir avec vous à la bonification des actions de notre région visant les jeunes de 12 à 25 ans ayant un problème de dépendance (ou en émergence) et pour lesquels une intervention précoce est souhaitable.
Peu-importe votre rôle dans votre organisation (direction, coordination ou intervention) vous êtes là bienvenue pour cette première réunion.
Afin de nous assurer du bon déroulement de la matinée, merci de confirmer votre participation par courriel ou par téléphone : 450-688-0541
Amicalement,
Patrice Machabée, pour le comité prévention cannabis
Résumé
QUOI Demi-journée d’échanges et réflexions sur le cannabis et les mesures préventives souhaitables pour la région (téléchargez l’affiche de la journée)
QUAND Le mardi 11 juin de 9h à 12h (accueil dès 8h30)
OÙ ALPABEM, 645 boul. Des Laurentides, Laval
DÉROULEMENT
9h00 Mot d’ouverture et mise en contexte
9h10 Meilleures pratiques d’intervention (Université de Sherbrooke)
9h40 Cadre du projet cannabis et Rappel de l’état de situation de 2018
9h50 Échanges et réflexions sur les besoins et les actions à mettre en œuvre
11h30 Gouvernance et engagement des partenaires
11h50 Les suites
*Inscription par courriel ou téléphonique 450-688-0541
Mise à jour le 27 juin 2019
Vous trouverez ci-dessous, les présentations PowerPoint de nos invités et la liste des malaises et des pistes d’action que les différentes équipes de travail ont identifiée.
- La Direction de santé publique du CISSS de Laval a présenté un bref état de la situation ainsi que le cadre et les objectifs entourant les enjeux de ce projet.
- Jessica Soucy, coordonnatrice de recherche du Projet IP-Jeunes de l’Université de Sherbrooke, est venue présenter les meilleures pratiques en intervention précoce. Pour participer au projet de recherche de Mme Soucy, cliquez sur ce lien
- Marie-Joël Fluet, organisatrice communautaire au CISSS de Laval , est venue présenter un état des lieux des données recueillies en 2017-2018
- Suite aux échanges entre les différents professionnels une liste de malaises a été rédigée et le plus important reste les nombreuses pistes d’action qui ont émergé.
- Écosystème de la concertation jeunesse favorable à l’innovation, engagement des partenaires.
Vu la présence active de la santé mentale, au sein de ma cellule familiale. J’ai établi une communication bienvenue avec mes enfants. Je veux qu’elles sachent. Nous avons survolé sur internet, tient une Chevrolet des années 1920, que nous avons comparé à une Chevrolet 2019 : « Maman, c’était la voiture de ton temps ? » (ma 9 ans). « Non, cocotte, je n’étais pas encore née !!!! » Le but de cette recherche a porté ses fruits. La société est faite pour être modernisée. Par contre, nous devons ajuster. Tout ne peut nous convenir. La légalisation du cannabis fait le bonheur des uns et le malheur des autres. J’ai expliqué à mes enfants que nous avons le pouvoir de choisir ce qui nous convient. On doit se respecter dans cette quête à modernisation. Elles ont en tête que les médicaments ne font pas bon mélange avec la drogue, peu importe son degré, sans entrer dans les détails. 13 et 9 ans ont conclu que si on est médicamenté en lien à un TDAH, cela veut dire que nous ne devrons pas se droguer car on peut être beaucoup plus malade. « Cela peut réveiller un chat qui dort, hein maman ? » (ma 13 ans). « Oui, ma grande. » Je tente de leur inculquer l’importance d’être à l’aise avec le sujet, de savoir qu’il y a des ressources et au cas où. Elles auront en tête, un rappel, ce qui leur permettra de faire un choix mieux éclairé. La clef de la connaissance est l’information, le savoir. Je m’engage à leur faire comprendre que nous sommes, continuellement, en mode apprentissage continu. « Donc, maman, Alpabem, c’est comme une école mais pas avec des devoirs ? » « En quelque sorte, chérie. » « En tout cas, man, moi j’trouve que l’Alpabem est bien plus COOL car on apprend différemment : un à un ou en faisant des sorties ou l’atelier Anna et toi maman, tu nous apprends des choses quand tu reviens de l’Alpabem. C’est trop TELLEMENT … » (ma 13 ans).